
Une visite des coffres-pêche des Garon, à Saint-Denis-De La Bouteillerie (août 1923).
© Musée du Bas-Saint-Laurent, fonds Paul-Émile Martin, m10027.
Sur les deux rives de l’estuaire moyen du Saint-Laurent, on trouve à l’époque des pêches à fascines dans tous les villages. Lorsque la marée descend, les poissons y sont pris : les pêcheurs doivent alors les recueillir avant que la marée ne remonte. Les flâneurs qui marchent sur la plage prennent toujours plaisir à visiter les pêches. S’ils sont chanceux, ils y trouvent de l’anguille, mais également d’autres espèces : chaque saison a ses poissons!
Cette pêche est encore pratiquée à quelques endroits dans l’est du Québec, notamment à Rivière-Ouelle et à Saint-Germain, au Kamouraska. Si l’équipement utilisé est plus moderne, le principe n’a pas changé.